
Arprim wishes to thank all of A l'affiche partners and collaborators who contributed to the project's success :
The artists and their galleries : Micah Lexier (Birch Contemporary) and Studio Feed
The production team : Professor Gwenaël Bélanger, student-printers Alexandre Ménard, Dominique Desbiens, Richelli Fransozo and Catherine Landry and technicians Jacinthe Loranger and Mathieu Jacques from École des arts visuels et médiatiques de l'UQAM.
Arprim's team: Emmanuelle Choquette, Marie-Pier Bocquet, Sandrine Briand and Jessie Cabot
Arprim's board of directors : Céline Huyhebaert, Gwenaël Bélanger, Majorie Paré, Carolyne Scenna, John Latour, Alexandre Ménard and Antoine Brylowski
Web and graphic design : Patrick Bourque, Gabriel Jasmin and Maxime Archambault
Translation : Alexandre Payer
Volunteers: Francys Chénier, Jeanne-Hélène Savoie, John Latour, Marie-Ève Leclerc-Parker and Jacinthe Loranger.
Venue and equipment: Circa Art actuel, Galerie Dominique Bouffard and Centre des arts actuels Skol.
À l'affiche partners : Caisse de la Culture, Tout Autour Encadrement , Écoles des arts visuels et médiatiques de l'UQAM
Sponsors of the launch event : GUSTA, Microbrasserie l'Alchimiste, Première Moisson, IGA Louise Ménard, Automne Boulangerie, La Fromagerie du Vieux St-François, Michel Records, Cinéma Beaubien et Cinéma du Parc, Atkins et Frères, Dare to Care Records, Hôtel Fairfield Inn and Suites Marriott, Musée d'art contemporain de Montréal, LA SERRE - arts vivants , CIRCA art actuel


The artist Micah Lexier

Anouk pennel, of studio feed, with Professor and A l'affiche coordinator Gwenaël Bélanger
Arprim is proud to announce the collaboration with renowned Canadian artist Micah Lexier and Montreal-based design studio Feed for À l'affiche, a project focused on the creation of original prints and posters by contemporary artists.
For a third year in a row, À l'affiche is produced in partnership with Université du Québec à Montréal's École des arts visuels et médiatiques. It allows printing arts students to get better acquainted with the printing process, while giving them a chance to work in close collaboration with the artists on the production of one of their pieces.
On June 6 and 7, 2017, Micah Lexier visited the printed arts department of École des arts visuels et médiatique and started working on the prints that will be unveiled in November 2017 !

The artist with professor and À l'affiche coordonator Gwenaël Bélanger and director of Galerie de l'UQAM, Ms Louise Déry.

The artist presented his work to visual arts students.
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Belthead Remix (2013-2023)
Pour célébrer le 10e anniversaire du projet À l’affiche, Belthead Remix (2013-2023) propose une sérigraphie où le langage plastique de François Morelli s’exprime dans les arts imprimés, en rappelant l’oralité et le mouvement de la performance, le trait du dessin et les couleurs et textures de la sculpture.
[…] Ici, Morelli a une volonté de réaliser un dessin brut, fait avec des moyens pauvres. L’œuvre nous confronte d’abord à une surcharge visuelle : de nombreux motifs s’étendent sur le papier, montrant des ceintures variées qui forment un ensemble où l’on discerne une tête, sans corps. En observant des objets fonctionnels de diverses cultures, l’artiste constate qu’ils sont souvent ornés. De cette réflexion lui vient l’idée de créer des designs variés dans Belthead Remix, incluant trois teintes : un brun presque orangé, un
brun pâle comme celui du cuir et un brun foncé, presque noir. Les couleurs reflètent la maroquinerie et rappellent la sculpture de ceintures en forme de tête, qui est à l’origine de la série Belthead.
-Extrait du texte d’accompagnement de Carolan Houle, étudiante de premier cycle en histoire de l’art à l’UQAM
Sérigraphie sur papier Velin BFK Rives Arches 175gr, 2 passages de couleur + un passage de vernis, 101,5 cm x 66 cm, édition de 15 exemplaires
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BIOGRAPHIE
Né à Tiohtià-ke (Montréal), François Morelli obtient un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Concordia en 1975. Dès lors, sa démarche est informée par l’interdisciplinarité, la performativité et le relationnel. Entre 1981 et 1990, Morelli vit et travaille dans le Grand New York où il complète une maîtrise au Mason Gross School of the Arts, Rutgers University (NJ) en 1983. Il enseigne dès 1981 et prend sa retraite de l’université Concordia en 2019 après 22 ans d’enseignement. Récipiendaire de nombreuses subventions et résidences, il performe et expose ses œuvres depuis 1977. Sa représentation en galerie est assurée à Montréal par Christiane Chassey de 1991 à 2004 et Joyce Yahouda entre 2006 et 2017, par la galerie Horodner Romley à New York de 1993 à 1995 et la galerie Chiguer art contemporain à Québec et à Montréal depuis 2022. Il est récipiendaire du prix d'excellence de la Biennale de dessin et d'estampe d'Alma en 1993; reçoit le Prix Louis Comtois en 2007 et le Prix Ozias Leduc remis par la Fondation Émile Nelligan en 2021. Il partage sa vie avec l’historienne d’art et de design Diane Charbonneau et leur fils, historien de l’art et artiste Didier Morelli.
François Morelli remercie Célia Beauchesne, Rosemarie Laporte, Mathilde Varanese et Maeva Gauthier-Chartrand, étudiant.e.s à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, le technicien Mathieu Jacques et le professeur Gwenaël Bélanger pour leur contribution au processus de création et d’impression des oeuvres, réalisées dans le cadre d’À l’affiche, un projet d’édition d’art par Arprim, centre d’essai en art imprimé.
Crédit image : Nat Gorry
Site de Chiguer Art Contemporain
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Oeuvres vendues en paire
Avec les œuvres Diadem Bullets et Trompe l’œil Tussle, Karen Tam poursuit son questionnement sur la représentation de l’identité culturelle chinoise en détournant certains objets qui y sont associés. Elle choisit ici la technique du papier découpé. Cet art ancien pratiqué en Chine depuis des siècles est un savoir-faire qui résiste aux imitations créées mécaniquement, qui font partie de ces chinoiseries abondantes sur le marché.
Édition de 30 exemplaires, 50,6 x 40,6 cm (chacune). Sérigraphie 8 passages sur papier Cougar 130 lbs.
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Les formes qu’elle taille sont inspirées quant à elles des tapis orientaux populaires aux États-Unis dans les années 1920 et 1930. Bien que fabriqués en Chine, ceux-ci étaient arrimés aux goûts des acheteurs occidentaux et amalgamaient motifs traditionnels et Art déco. L’artiste a ensuite puisé dans les couleurs de l’opéra chinois afin de doter l’ensemble d’une douceur harmonieuse. Les soies d’impression ont été
créées directement à partir des pochoirs et la superposition des couleurs mime la matérialité originale du papier.
Diadem Bullets, édition de 30 exemplaires, 50,6 x 40,6 cm. Sérigraphie 8 passages sur papier Cougar 130 lbs.
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Les œuvres sont présentées en diptyque, ce qui accentue la dualité de leurs éléments. Diadem Bullets propose un agencement de motifs semi-abstraits, alors que Trompe l’œil Tussle prolonge cette composition tout en présentant aussi les figures d’un homme et d’une femme. La tension dramatique entre les deux personnages contraste
avec la délicate apparence de l’ensemble. Si le couple semble danser, c’est bien un couteau que la femme pointe vers le flanc de l’homme. Karen Tam propose ainsi de redonner son agentivité à la femme d’origine asiatique en la libérant de cette image de douceur dans laquelle le regard de l’autre voudrait l’enfermer.
-Textes de France Cantin, étudiante de premier cycle en Histoire de l’art, UQAM.
Trompe l'oeil Tussle, édition de 30 exemplaires, 50,6 x 40,6 cm. Sérigraphie 8 passages sur papier Cougar 130 lbs.
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BIOGRAPHIE
Karen Tam est une artiste et commissaire basée à Tiohtià:ke/Mooniyang/Montréal dont la recherche se concentre sur les constructions et les imaginaires culturels et communautaires, à travers des installations dans lesquelles elle recrée des restaurants chinois, des salons de karaoké, des fumeries d'opium, des boutiques de curiosités et autres sites de rencontres culturelles. Elle a exposé ses œuvres et participé à des résidences en Amérique du Nord, en Europe et en Chine, notamment au Musée d'art He Xiangning et au Musée des beaux-arts de Montréal. Tam a remporté le prix Giverny Capital 2021 décerné par la Fondation Giverny pour l'art contemporain, et a été finaliste pour le prix Louis-Comtois 2017, finaliste pour le prix en art actuel du Musée national des beaux-arts de Québec en 2016, et retenue sur la longue liste des prix Sobey en 2010 et 2016. Tam est titulaire d'un MFA en sculpture (School of the Art Institute of Chicago) et d'un PhD en Cultural Studies (Goldsmiths, University of London). Elle est représentée par la Galerie Hugues Charbonneau à Montréal.
Karen Tam remercie Célia Beauchesne, Rosemarie Laporte, Maeva Gauthier-Chartrand et Mathilde Varanese, étudiant.e.s à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM et le professeur Gwenaël Bélanger pour leur contribution au processus de création et d’impression des oeuvres, réalisées dans le cadre d’À l’affiche, un projet d’édition d’art par Arprim, centre d’essai en art imprimé.
Site de la Galerie Hugues Charbonneau